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NE BAISSE PAS LE VOLUME DE TON ÂME

Tu as le droit de vouloir plus

Je veux te le dire clairement : Tu n’as pas à te contenter de ce que tu as si ton cœur désire autre chose.
Tu peux être reconnaissante… et vouloir plus de joie. Être heureuse… et vouloir plus de liberté. Aimer ta vie… et aspirer à l’élever encore.

La gratitude n’est pas l’ennemie du désir. Ce n’est pas « ou ». C’est « et ». Et si ton désir vient du cœur, alors c’est un appel d’âme.

La seule vigilance : faire la différence entre un désir du cœur et un désir enraciné dans une blessure.
Un désir du cœur te met en joie… dès le chemin. Un désir blessé, lui, cherche juste à te faire fuir une situation douloureuse.

Arrête d’attendre la permission

Tu n’as pas besoin que quelqu’un te valide. Pas besoin que quelqu’un t’autorise à vouloir plus, à rêver plus, à oser plus.

La seule personne qui peut te donner la permission d’avancer… C’est toi.

Et si tu veux que ça avance plus vite, entoure-toi de personnes qui, elles aussi, s’autorisent. Pas forcément des gens « parfaits », mais des gens qui osent et qui sont déjà en mouvement vers le même but que tu désires manifester.
C’est ce qu’on vit dans mon programme ENVOL🦋. Des femmes en chemin, qui avancent, et qui se propulsent les unes les autres.

Tu n’as pas besoin d’être entièrement libéré·e pour avancer

Cesse de croire qu’il faut être complètement « guéri·e » avant d’y aller, car en réalité, c’est en avançant qu’on se libère (et non le contraire).
Ce n’est qu’en marchant qu’on sent les élastiques intérieurs tirer et nous freiner. C’est là qu’on peut s’en libérer.

Tant qu’on est à l’arrêt, aucune blessure ne va se réveiller et aucun élastique ne va tirer, car chaque élastique est un mécanisme de défense d’une blessure active.

Pour s’en défaire, il faut le voir. Pour le voir, il faut qu’il tire. Pour qu’il tire, il faut mettre le cap vers un grand but et avancer.

On n’avance pas parce qu’on est libéré·e, on est libéré·e parce qu’on a pris la décision de se mettre en chemin.

Rêve grand. Avance petit.

Je ne crois pas en la peur de réussir. Je crois en la peur de ce que ça va coûter d’y parvenir et de maintenir cette réussite.

Je crois aussi que le problème est qu’on pense qu’une grande réussite implique de grandes actions et de grands coûts.

Ce n’est pas le cas. Toutes les grandes réalisations ont commencé par une première petite action. Un champion de tennis a joué un premier match. Un marathonien a couru un premier kilomètre. Un millionnaire a gagné son premier dollar. Ce qui compte, c’est de mettre le cap et de décider que ce grand but sera non négociable.

Certain·e·s prennent le chemin en courant, d’autres en marchant et d’autres encore préfèreront des sentiers jolis mais plus longs. Chacun·e son chemin préféré, chacun·e son choix libre. Nous ne sommes pas tous égaux face à la tolérance à l’inconfort. Chacun·e fera ses propres efforts raisonnablement inconfortables. Le plus important, c’est la direction. Pas la vitesse. Pas la performance.

On ajuste les habitudes. Pas les rêves.

Si tu souhaites en savoir plus sur le programme Envol🦋, réserve un appel avec moi et voyons s'il est exactement ce qui est le mieux pour toi aujourd'hui.