Quelles sont les blessures les plus douloureuses ? (spoiler : la blessure d’abandon n’est pas sur le podium et je t’explique pourquoi.)
1. La plus douloureuse de toutes : la blessure de rejet
Tu touches ici à ta valeur la plus profonde. La blessure choisit souvent une personne que tu mets sur un piédestal et dont tu attends la validation pour exister. La peur de ne plus exister rend cette blessure extrêmement douloureuse. C’est aussi celle qui te pousse le plus naturellement vers le travail intérieur et la quête d’un sentiment de sécurité intérieur.
2. L’autre blessure très douloureuse : la blessure d’humiliation
Elle touche à l’image de soi. Tu redoutes le regard des autres, et comme cette blessure est motivée par le plaisir, toute contrainte est vécue comme une vraie souffrance. L’émotion centrale est la honte, à la vibration très basse, ce qui épuise et tire l’énergie vers le bas.
3. A la troisième place du podium : la blessure d’invisibilité
Elle nourrit des loyautés toxiques qui te vident de ton énergie. Tu es un·e « soldat·e énergétique » : tu encaisses longtemps, parfois trop longtemps, et tu peux rester dans des situations toxiques que d’autres quitteraient plus vite. La culpabilité est quasi permanente et, au fond, il y a la peur d’être rejetée.
4. La 4e au classement (et la surprise) : la blessure d’abandon
On l’imagine très douloureuse, mais le déni et la victimisation anesthésient la douleur. Tu peux chercher surtout de l’attention et des oreilles qui valident que « tu as raison », plutôt que des solutions. La responsabilité est projetée à l’extérieur, ce qui te coupe de ta souveraineté et n’appelle pas spontanément le travail sur soi. C’est pour cela qu’elle n’est « que » quatrième.
5. La petite douleur cachée derrière le masque de la force : la blessure de défiance
Le cœur s’est fermé pour ne plus ressentir la brisure. L’émotion dominante est la colère « chaude », qui en elle-même n’est pas douloureuse. Ce qui fait mal, c’est surtout la peur de perdre le contrôle d’une situation ou d’une relation. Quand cette blessure est dominante, on n’est pas toujours attirée par la croissance personnelle… Et si tu l’es, c’est probablement à la suite d’une rencontre majeure.
6. La moins douloureuse de toutes : la blessure de désillusion
Tu te coupes des émotions et privilégies le rationnel. Tu as peu d’attentes, donc peu de déceptions aussi. Parfois il reste une colère froide, contenue. Quand la désillusion devient dominante après la libération d’une blessure plus douloureuse, tu peux sentir un vrai répit, une accalmie : tout est « tassé », contenu, protégé.
7. L’élastique qui tire te montre ta priorité
Tu ne peux pas (et tu n’as pas besoin de) tout libérer en même temps. Fixe un but désiré et commence à agir : c’est en avançant que tu sens l’élastique qui tire dans le dos : le mécanisme de protection de la blessure dominante du domaine concerné. Tu peux avoir une blessure dominante différente au travail, en amour ou en amitié. Identifie-la via ce que tu ressens, tes réactions et tes blocages, déverrouille le mécanisme et avance jusqu’au prochain élastique à défaire.
La libération se fait cycle par cycle, jusqu’à ce que tu accèdes à la ligne de vie dans laquelle ton désir est manifesté 💛
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