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CE QUE TU TOLÈRES T’ÉLOIGNE DE QUI TU ES

Chaque fois que nous sommes désalignés, nous perdons une quantité d’énergie précieuse. Nos limites personnelles tracent une frontière entre ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. Lorsque nous dépassons ces limites en tolérant l’inacceptable, c’est toute notre énergie qui s’envole.

La zone de tolérance neutre représente ce que nous acceptons volontiers et qui ne consomme pas d’énergie.

La zone de l’inacceptable représente tout ce qui dépasse nos limites et qui provoque une déperdition d’énergie.

La blessure d’invisibilité nous pousse à élargir notre zone de tolérance, jusqu’à accepter l’inacceptable et à payer le prix, jour après jour, en nous sentant fatigués.

Les trois conséquences du mécanisme de suradaptation de la blessure d’invisibilité

Un épuisement énergétique

Ce que tu tolères épuise ton capital énergie, indispensable pour manifester tes désirs les plus profonds.

Le renoncement à tes rêves

Dire « oui » à ce qui est désaligné, c’est dire « non » à ce qui compte vraiment pour toi.

Des règles qui ne sont pas les tiennes

Tolérer l’intolérable, c’est obéir à des normes qui t’éloignent du respect de toi-même. Il est vital d’identifier et de faire respecter tes règles non négociables.

Trois clés pour te libérer du mécanisme de suradaptation de la blessure d’invisibilité

Clé #1 : Réhabiliter ton antenne intérieure

Reconnecte-toi à ton corps et à cette intelligence instinctive qui capte les énergies environnantes.

Les émotions primitives, comme la colère et le dégoût, sont les signaux d’alarme qui protègent tes limites. Apprends à les écouter pour fermer l’accès à ton énergie lorsqu’une situation la menace.

Clé #2 : Apprendre à dire non

Dire « non » est facile. Ce qui l’est moins, c’est dire « non » sans culpabiliser. Et ce qui l’est encore moins, c’est d’être conscient·e de désirer dire « non ».

Nous sommes tellement habitué·e·s à ne pas nous poser les questions qui font peur, telle que « qu’est-ce que je désire vraiment ? » que le « oui » en est devenu automatique.

S’entraîner à poser un « non » clair, sans justification excessive, est un acte de respect envers soi-même. Autorise-toi à prendre le temps de la réflexion, à formuler ta réponse et même à changer d’avis si nécessaire. Et rappelle-toi : Tu n’es pas responsable du bien-être des autres.

Clé #3 : Cesser de pré-négocier

Arrête de proposer d’emblée des compromis intérieurs. Mets tes préférences sur la table, sans ajustement anticipé, et ouvre la discussion.

Chacun viendra avec ses besoins, et c’est dans cet échange authentique que se construit un terrain d’entente respectueux.

Mets-le en pratique pendant 90 jours

Observe ton mécanisme de suradaptation, note chaque « oui » désaligné et chaque émotion ignorée. Petit à petit, tu diras plus de « non » alignés et récupéreras une énergie considérable, à tel point que tu ne sauras plus quoi en faire 🥰

Et maintenant ?

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