La blessure d’invisibilité : donner, encore et encore… sans oser fermer la porte
Quand cette blessure est dominante, tu ressens profondément le besoin de voir la lumière chez l’autre. Même quand tu sais que la relation est toxique, tu laisses la porte entrouverte. Tu comprends l’autre, tu espères qu’il changera. Tu donnes… jusqu’à t’oublier.
La clé de libération ?
Reprendre la place centrale dans ta vie. Cesser de te retirer. Tu n’es pas égoïste : tu es juste en train d’occuper ta juste place.
La blessure d’humiliation : choisir toujours le « moins »
Si tu choisis systématiquement la plus petite part, la moins bonne place, la solution la plus contraignante ou le rêve le moins audacieux, ce n’est pas parce que tu le préfères. C’est parce qu’une partie de toi pense que tu ne mérites pas mieux.
La clé de libération ?
Honorer la vie en toi au travers de ton corps. Honorer son corps, c’est le respecter, le nourrir, en prendre soin. C’est une façon de reconnaître que tu mérites le meilleur, ici et maintenant.
La blessure de désillusion : tout donner, trop tôt, trop fort
Tu t’investis à 200 % dès le début d’une relation. Tu planifies, tu donnes, tu anticipes. Mais l’autre ne suit pas. Et là, c’est la déception, la colère froide, les reproches… et l’impression d’être toujours celle qui donne trop.
La clé de libération ?
Le lâcher-prise. Offrir sans attendre. Laisser l’autre faire à sa manière. Ne plus chercher à contrôler la relation mais à écouter ton cœur.
Toutes ces blessures ont un point commun : elles donnent, souvent pour tenter de recevoir. Et tant qu’on n’en prend pas conscience, elles nous enferment dans des dynamiques épuisantes.
Mais une fois qu’on observe le duo de blessures en jeu — celle qui donne et celle qui veut recevoir — tout s’éclaire.
La libération des blessures est l'une des étapes d'Envol 🦋. Si tu souhaites en savoir plus sur ce programme, réserve un appel avec moi et voyons s'il est exactement ce qui est le mieux pour toi aujourd'hui.
